INTRODUCTION


    Indispensables à la pollinisation des fleurs, les abeilles constituent un maillon essentiel de la chaîne qui contribue à maintenir l'équilibre des écosystèmes. Elles jouent un rôle primordial dans les diverses phases de la vie de nombreuses espèce végétales et animales. Si les abeilles disparaissaient, des multitudes de plantes ne pourraient plus se reproduire et s'éteindraient. Leur absence engendrerait la perte de nombreuses espèces animales dont l'homme se nourrit.


L'abeille est le principal insecte pollinisateur. Elle assure la pollinisation de 80% des fruits et légumes, et a donc un rôle essentiel pour les espèces végétales de notre planète. Lorsqu'une abeille recueille du nectar et du pollen de la fleur d'une plante, une partie du pollen des étamines — l'organe reproducteur mâle de la fleur — colle aux poils de son corps. Lorsqu'elle se pose sur une autre fleur, une partie du pollen se dépose sur le stigmate ou sur le bout du pistil — l'organe reproducteur femelle de la fleur. Lorsque cela se produit, la fécondation est possible, et un fruit, portant des graines, peut se développer. 









L'abeille ne peut vivre qu'en société, elle a besoin de ses congénères pour pouvoir construire et développer leur habitat : Les ruches. Un essaim est composé de 3 castes : La reine évidemment , ses ouvriers et des faux bourdons.



L’abeille assure également la production de plusieurs produits : le miel, la propolis, la cire, la gelée royale... Ils sont utilisés par l’Homme comme nourriture, compléments alimentaires, molécules dans l’industrie pharmaceutique, matière première pour la création de bougies, de savons..., mais peuvent aussi servir de nourriture à d’autres espèces animales. De plus, sa sensibilité aux variations des conditions environnementales permet de déceler des perturbations génératrices de dérèglements des écosystèmes.Cet insecte est donc un bio-indicateur intéressant.De par sa domestication et à la vue des nombreux rôles remplis par l’abeille, l’Homme a le devoir de protéger cet insecte. 


France, Allemagne, Italie, USA, Slovénie, Canada... le phénomène est mondial.

3 commentaires:

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  2. Nous sommes inquiets de voir les proportions que prend le dopage dans le sport. L'annonce récente de la maladie d'un cycliste réveille en nous les craintes de voir le nombre cancers exploser à la suite d'années de dôpage. Qu'un homme meurt sur le tour ou qu'il trépasse mystérieusement quelques années après son triomphe, et nous nous nous posons des tas de questions, comme si tout celà était vraiment étonnant. Hypocritement nous feignons de croire que la société de la performance est une société pure, dans laquelle les athlètes sont de véritables héros.
    Or, qui peut raisonnablement penser que les sportifs peuvent en permanence repousser les limites du possible, sans dans le même temps recourir à des procédés de plus en plus "perfectionnés" ? Qui peut croire qu'un homme peut courir le 100 mêtres en moins de 10 secondes sans l'aide d'aucune substance ( 100 mêtres en moins de 10 secondes, çà fait quand même une vitesse moyenne de 36 km/heure, départ arrété !).

    Sommes nous à ce point crédules, ou pire, sommes nous conscients des drames qui se nouent, et nous en faisons nous les complices par notre silence ?

    Pour ma part, je ne crois pas un seul instant que nous nous laissons berner. Nous savons tous, et depuis longtemps, que les reccords en tout genre, font une part plus ou moins belle aux dosages pharmaceutiques ou pour le moins à un accompagnement médical. Je ne veux pas dire par là, que tous les athlètes sont dopés, non certainement pas, mais bien que chaque sportif, inclut dans sa préparation des recettes qui ne sont pas forcément que du domaine du sport.

    Mais pour être honnête, je crois qu'il faudrait aussi se poser la question de nos propres pratiques, à nous les "non sportifs". Nous mettons l'accent en permanence sur les dérives du cyclisme, ou de l'athlétisme. Or sommes nous si sûr quil n'y a que des athlètes qui se dopent ? Je connais un certains nombres d'athlètes du travail qui se dopent tous les jours ! Le cannabis est une drogue répendue dans de très nombreux secteurs, la cocaïne a depuis longtemps dépassé les frontières du sport. En fait, pour travailler quinze heures par jour et Six à sept jours par semaines, tout en pouvant s'occuper de la maison et des enfants, sans jamais se reposer, j'imagine qu'à un certain moment, les "fortifiants" sont indispensables. Je ne parle même pas là de l'alcool. En fait nous attaquons le sport, mais nous perdons totalement de vue que la France est le pays qui détient le reccord de consomation d'anxiolitiques et tranquilisants ! Nous crions haro sur les athlètes, mais dans de très nombreux milieux, la drogue, les "amphêt", sont quasiment en "vente libre". Quelle frontière alors, pouvons nous tracer entre les tricheurs du tour, et celui qui prend un dernier p'tit rail avant d'aller bosser ? Quelle différence faut il faire entre celui qui s'offre un petit pétard avant le match et celui qui cultive son cannabis dans son jardin , parce que ce produit l'aide à se détendre quant il rentre d'une journée de stress ?

    Tiens, en voilà peut être des questions qui dérangent !

    Et si le sport n'était pas, et de loin, le seul secteur concerné, miné par le dopage ? Hein ?

    Et si dérrière tout celà, il y avait un seul et même malaise ?

    Cette peur constante de ne pas être à la hauteur ? Et si derrière tous ces arrangements avec le diable, il y avait en filigrane le fait qu'on demande toujours plus, toujours mieux et toujours plus vite ?

    Allez, ne faites pas les minorés, vous ne vous y êtes jamais frottés vous aux "fortifiants pour la mémoire" ou autres "anti sommeil" à la veille des exams ? Vous ne

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